Le Monde Animal - Venez la dcouverte du merveilleux monde animal. Tout savoir sur tous les animaux,

Time 2021-06-13 13:29:09

Web Name: Le Monde Animal - Venez la dcouverte du merveilleux monde animal. Tout savoir sur tous les animaux,

WebSite: http://monde-animal.over-blog.com

ID:183030

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NOUVEAU: Autre site sur les insectes, à ne pas manquer, venez en cliquant ici http://lemondedesinsectes.over-blog.com/. Je vous souhaite la bienvenue dans cet univers magique et fantastique qu'est le monde animal. Vous trouverez ici des centaines d'espèces animales répertoriées, décrites par des informations complètes et illustrées par des photographies et des dessins. En espérant que vous trouverez ce que vous cherchez, je vous souhaite une très bonne visite ! Si vous souhaitez être prévenu de chacune des parutions de nouveaux articles, inscrivez-vous à la news letterà l'aide du module prévu à cet effetfigurant à droite. Si votre animal préféré ne figure pas sur le site, contacter le webmaster qui l'ajoutera dans les plus brefs délais. Adresse mail: le-monde-animal@wanadoo.fr DESCRIPTION: L'aigle royal a du au fil du temps se retrancher vers les régions montagneuses, et ces dans ces régions que l'on peut aujourd'hui l'observer, notamment lorsque planant dans les airs il se met en quête d'une proie. Ce rapace est l'un des plus gands qui soit connu mais aussi l'un des plus majestueuex, ce qui lui vaut son nom de royal. Longtemps l'aigle royal a été victime de persécutions car l'on pensait autrefois à tortque cet oiseau s'en prenait aux enfants.Aujourd'hui l'aigle royal est un animal protégé. Aujourd'hui l'aigle royal vit essentiellement dans les régions montagneuses. MODE DE VIE: L'aigle royal est un oiseau qui a besoin de beaucoup d'espace pour vivrepuisqu'il qu'il chasse au vol. En Amérique du Nord, le territoire d'un aigle royal peut s'étendre sur 520 km².Encore présent dans quelques forêts et zones humides en Asie orientale, on ne le trouve plus en Europe et en Amérique du Nord que sur les hautes montagnes où les proies sont à découvert. Autrefois largement plus répandu, l'aigle royal s'est aujourd'hui retiré dans les zones où l'Homme est peut présent. En France, les couples d'aigles royaux sont peu nombreux, 200 environ répartis dans les Pyrénées, les Alpes et la Corse. Mais la situation de l'espèce s'améliore depuis le XXième siècle, après que les persécutions causées par des chasseurs, éleveurs et collectionneurs d'oeufsait cessé. De plus, les pesticides tel que le DDT ou la dieldrine qui engendraient une baisse de la fécondité de l'aigle royal sont interdits depuis 1972 et cela permet aussi à l'espèce de retrouver de meilleurs conditions de vie. On peut aujourd'hui l'observer dans une vingtaine d département, particulièrement dans les parcs nationaux comme celui de la Vanoise, des Encrins, du Mercantour ou des Pyrénées occidentales. Le prinemps et l'été sont les saisons le plus favorables pour ce genre d'observation, car les courants d'air chaud favorise le vol des aigles. On le distingue de la buse par sa taille plus importante, des ailes plus longues et plus rectangulaires, ainsi que par des tâches blanche: une à chaque ailes et une sur la queue. Il faut cependant nuancer ses relations avec l'homme qui n'ont pas toujours étaient mauvaises, puisqu'il a été aussi utilisé dans la fauconnerie, et cet animal était autrefois réservé aux rois. On estime qu'un aigle vit entre 15 et 20 ans s'il est en liberté, mais en captivité il peut atteindre 45 ans. ALIMENTATION: L'aigle royal se nourrit essentiellement de petit mammifère est très souvent de lièvres. Mais jeunes renards, marmottes, hermines, petits oiseaux et même serpents ou lézard peuventtout aussi bien lui faire office de festin. Quelquefois, l'aigle royal peut même se nourrir de lagopède. En hiver, lorsque les temps sont durs, l'aigle royal adopte un comportement charognard et il peut alors se nourrir de plus gros animaux comme le chamois, qu'il n'aurait pas pu tuer par lui même.La majorité des proies se font capturées au sol, mais certaines peuvent l'être en plein plein vol. Pour chasser, l'aigle royal survole une pente en y repérant les animaux à découvert, et plonge alors sur eux à une vitesse qui peut atteindre les 150 km/h. Ils se saisit de la proie à l'aide de ses quatres doigts puissants et dont les griffes recourbées suffisent souvent à tuer la proie. Son bec crochu, puissantet acéré lui permet alors de déhirer ses proies et de les partager aux aiglons. L'aigle royal saisit les petits mammifères au sol lorsqu'ils sont à découvert. REPRODUCTION: Le nid des aigles royaux, appelé aire, est soit installé sur le flanc d'une fallaise soit dans un arbre.Ces nids sont de tailles impressionnantes etpeuvent atteindre 3,5 mètres de hauteur et 1,5 mètres de largeur. Cela s'explique par le fait que dans certaines régions, les aigles utilisent le même site de nidification depuis des siècles, et pour ceux qui sont installés dans les arbres, ils sont souvent agandit chaque année avec l'apport de nouveaux matériaux. Un seul couple peut posséder plusieurs nids qu'ils utilisent alors à tour de rôle. Le mâle pour sa parade nuptial effectu un vole en ondulant dans les airs, en piquant et remontant plusieurs fois répétées. L'accouplement se passe sur terre et le prmeier oeuf est déposé dans le nid au cours du mois de mars. Le second oeuf n'est pondu que trois ou quatre jours aprés. Ces oeufs sont en principe mouchetés et sont couvés par les aigles durant 6 semaines. Un poussin est donc plus âgé que l'autre. Le plus jeune ne survit alors que rarement, soit tué par son ainé soit mourrant de faim. Le plumage de l'aiglon est blanc, et il ne prendra sa couleur adulte définitive que vers trois ou quatre ans. L'aigle royal rapporte la nourriture et la partage aux deux poussins. Oeufs: 2 pondus à intervalle de 3 ou 4 jours, de couleur blache tachée de brun Incubation:43 - 45 jours Envol des petits:vers 65 - 70jours MODE DE VIE: Moeurs:solitaire ou en couple, utilise les courants d'air chaud ascendants Régime: petits mammifères, oiseaux et quelquefois charognes Longévité: 15 à 20 ans en pleine nature, jusqu'à 45 en captivité ESPECES PROCHES: Le gene Aquila compte près de dix espèces, dont fait parti l'Aigle impérial Aquila heliaca qui est un autre aigle nicheur d'Europe. HABITAT: En rouge: aire de répartition de l'aigle royal. REPARTITION: Présent en Europe, Afrique du Nord, Asie et Amérique du Nord. PROTECTION: Les aigles royaux sont aujourd'hui protégés mais restes menacées par des destructions et perturbations variées. DESCRIPTION:Le grizzly est l un des plus puissant animal terrestre et c est aussi l un des plus grand carnivore. Pour l homme, il s agit de l un des animaux les plus dangereux, car en plus de son incroyable force, il est tr s agressif. En effet, le grizzly est capable de tuer en un seul coup un animal de grande taille, et ce gr ce ses pattes puissantes, aplaties et quip es de longues griffes non r tractiles. Le grizzly est en fait une sous esp ce de l ours brun que nous rencontrons en Europe et en Asie. Cependant le grizzly lui ne vit qu en Am rique du Nord, en solitaire, dans les zones bois es et montagneuses.Le grizzly est l'un des plus grands carnivores terrestres.MODE DE VIE:Le grizzly est plut t d humeur solitaire, bien qu il tol re la pr sence d autres grizzlys dans son entourage. Le grizzly n a pas d ennemis naturels, seuls quelques combats de br ve dur e ont parfois lieu entre deux m les durant la saison des accouplements. En revanche, l agressivit d une femelle peut tre extr me si elle sent son petit menac . Durant le printemps et l t , les grizzlys m nent une vie paisible se d placer d endroits en endroits. A l arriv e de l automne, ils commencent se nourrir en plus grande quantit , pour accumuler des graisses en vue de son repos hivernal. Cependant, le grizzly n hiberne pas vraiment, et il lui arrive m me de se r veiller pour partir se nourrir les jours les moins froids de l hiver. L image que nous avons des ours passant l'hiver dans une grotte est r aliste, puisque les grizzlys utilisent parfois ce genre d abris naturel. Cependant, la plus grande partie des grizzlys se creusera soit m me son propre abri dans le sol, s y r fugiant d s que les chutes de neige deviennent importantes. Cette neige qui recouvrira alors l abri constituera une parfaite cloison isolante. Les premiers grizzlys ressortent pur de bon de leur tani re l arriv e du printemps. Ils repartent alors imm diatement en qu te de nourriture, et reviennent dormir le soir dans leur abri, jusqu ce que le temps soit suffisamment chaud pour passer les nuits dehors.Le grizzly est un animal solitaire.ALIMENTATION:Le grizzly fait parti de l ordre des carnivores, mais cela ne l emp che d tre omnivore et de manger d autres aliments que de la viande. En effet, le grizzly est tr s opportuniste, et se nourrit de tout ce qu il trouve se mettre sous la dent. Ainsi, il consommera bien videmment des cadavres d autres animaux, du poisson, de petits mammif res, mais aussi des racines, des fruits, des insectes et m me des algues. Son odorat est ultra d velopp et le grizzly peut sentir l odeur d une charogne une trentaine de kilom tre de l o il se trouve. De temps autre, le grizzly s attaque de grands mammif res, tels que l lan et le wapiti. Dans ce cas l , le grizzly adopte la m me strat gie que beaucoup de pr dateurs, autrement dit il s attaque en priorit aux animaux les plus faibles, que ce soir par la maladie, l ge ou une blessure. M me pour un grizzly une telle proie repr sente plusieurs jours de nourriture. Lorsqu il chasse des mammif res plus petits, qui souvent s enterrent comme la marmotte, les cureuils ou autres rongeurs, le grizzly utilise ses pattes et ses griffes pour les d terrer. Enfin, le grizzly est un parfait et habile p cheur. Ainsi il sait particuli rement bien capturer un saumon qui remonte un cours d eau. Tous n usent pas de la m me technique, certains font sauter le poisson hors de l eau par un vif coup de pattes, d autres l crasent au fond de la rivi re en y sautant dessus, ou d autres encore saisissent le poisson ans leur gueule lorsque celui ci saute hors de l eau.Certains grizzlys capturent les saumons en s'en saisissant lorsque ceux-cisautent pour remonterles rapides d'uncours d'eau.REPRODUCTION:La saison des accouplements du grizzly commence au mois de juin. Les m les se chargent de s duire les femelles en leur mordillant le cou et en grognant. Une fois la femelle f cond e, la gestation varie entre 6 et 8 mois. Ainsi, l arriv e des petits se produit en hiver, lorsque la femelle est l abri dans sa tani re. Ceci s explique car l ovule f cond ne rejoint l ut rus qu en automne, ce qui permet la femelle de pr voir des r serves de graisse assez importantes pour elles et les petits dans son ventre. Un grizzly ourson ne mesure que 20 centim tres lorsqu il na t, il est presque nu, et p se entre 500 et 700 grammes. IL ne mesure donc que le dixi me de sa taille adulte. Les oursons passent alors tout l hiver dans les poils de leur m re qui les allaite. Les oursons sortent l air libre pour la premi re fois de leur vie dans le courant d avril mai, et ils deviennent tr s vite autonomes. L hiver suivant, les jeunes repassent l hiver dans la m me tani re que leur m re. Au bout de deux ans, cela arrive encore mais beaucoup d entre eux pr f reront se chercher leurs propres abris ou en partager un avec d autres jeunes de leur ge.Le grizzly est un mammif re et donc la femelle allaite ses petits. DIMENSIONS: Hauteur : 2 m trePoids:peut aller de 90 300kg REPRODUCTION:Maturit sexuelle: m le: 4 ansfemelle: 3 ansAccouplements: juinGestation:180 250 joursPort e:2 petits le plus souvent MODE DE VIE:Moeurs: solitaireR gime: fruits, racines, noix, miel, insectes, l zards, poissons, tout mammif resLong vit : pas plus de 30 ans ESPECES PROCHES:Le grizzly est une sous-esp ce de l'ours brun d'Europe et d'Asie. Cinq esp ces lui sont apparent s, dont l'ours blanc. HABITAT: En rouge: aire de r partition du grizzly. REPARTITION: A l'atat sauvage le grizzly ne se encontre plus qu'au Canada et qu'en Alaska. Il en reste encore dans les r serves du Montana, de l' Idaho, du Wyoming et de l'Etat de Washington. PROTECTION: Il peuplait autrefois toute l'Am rique du Nord, mais leur population a nettement r gress e suite une pression de chasse trop importante et la destruction d leur environnement. On estime qu'il reste un peu plus de 50 000 individus, mais ils taient dix fois plus nombreux au d but du XIX me si cle. DESCRIPTION:Le crapaud commun est d savantag par son physique repoussant qui lui vaut souvent d tre m priser. Au moyen- ge, on pensait m me que le crapaud tait un animal mal fique, et qu il se nourrissait en t tant les vaches. Pourtant, cet animal ne pr sente normalement aucun danger pour l homme, et il se r v le m me tre tr s utile dans l cosyst me de nos jardins. On ne peut cependant pas nier que les glandes qui entourent ses verrues secr tent un venin, parfois capable de tuer un chat ou un chien. Le plus souvent, l odeur naus abonde suffit repousser les autres animaux, mais lorsque ce n est pas le cas et qu un animal entre en contact avec ce venin, il se retrouve g n ralement paralys . Certaines esp ces, comme le hibou, la couleuvre ou m me le corbeau ne sont pas sensibles ce venin et sont naturellement immunis es.Le physique du crapaud lui porte souvent pr judice.MODE DE VIE:Le crapaud ne vit pas toujours seul. C est en t qu il m ne une vie solitaire, mais arriv l hiver, il est fr quent qu il se regroupe avec d autres crapauds. Vers octobre, le crapaud recherche un endroit o il pourra passer l hiver l abri du froid et des intemp ries. En cas d absence d abris naturel, il n h sitera pas creuser un trou l aide ses pattes post rieures, pouvant aller jusqu une cinquantaine de centim tre de profondeur. Le crapaud est alors capable de rester terrer dans son trou deux mois entier, ne dormant pas compl tement, mais vivant seulement sur ses r serves de graisse. Ce n est qu au printemps suivant que le crapaud commun reprendra une alimentation normale. Lorsqu un crapaud est menac , il poss de pour se d fendre des glandes productrices de venins. Selon le cas du danger, deux types de venins diff rents peuvent tre produits. Si le danger n est pas extr me, un simple venin l odeur de champignon va alors recouvrir le corps du crapaud et provoquer un engourdissement du pr dateur, voir une paralysie. Mais si le danger est plus grave et que le crapaud se sent s rieusement menac , c est un liquide blanc et pais qui va tre produit, en moindre quantit mais dont l efficacit peut aller jusqu tuer le pr dateur. Il faut savoir que le crapaud vit la plus grande partie du temps l air libre, et non sous l eau comme beaucoup de monde persiste le croire. Ainsi, le milieu aquatique lui est surtout utile la reproduction, mais le reste du temps le crapaud volue dans des bois, des pr s, des jardins. Il s agit d un animal nocturne, qui reste le plus souvent l obscurit durant la journ e, bien l abri dans une cachette. Pour se d placer, le crapaud proc de par petit bond d une quinzaine de centim tre, mais c est un animal extr mement agile capable de franchir sans grandes difficult s des cl tures et des murs.Le crapaud se rencontre fr quemment dans nos jardins.ALIMENTATION:Lorsque le crapaud commun atteint l ge adulte, il est exclusivement carnivore. Il mange alors des araign es, des insectes, des limaces, des lombrics, m me de petites grenouilles et des l zards. En outre, le crapaud para t insensible tous les venins, que ce soit celui d insectes comme l abeille ou celui d autres batraciens. Il est m me important de faire remarquer que le crapaud n h site pas faire preuve de cannibalisme si la situation l exige, en d vorant ses propres jeunes. C est la nuit qu il sort pour chasser et se nourrir. En action de chasse, le crapaud se d place lentement cherchant une proie et s en approchant. Lorsqu il en est assez proche, il d ploie sa langue protractile d'une dizaine de centim tres par un vif r flexe. L action se passe tr s vite, et en moins d une seconde, la proie est englu e sur la langue et est ramen e dans la bouche du crapaud. Le crapaud crase ensuite sa nourriture sur son palais puisqu il ne poss de nui dents ni salive, et l avale dans de grands efforts, s aidant en rentrant ses yeux dans leurs orbites. Il arrive que deux crapauds se disputent pour une m me proie, mais le plus souvent le conflit se limite quelques bousculades et il ne d g n re que rarement en combat.Le crapaud commun est un animal carnivore.REPRODUCTION:Vers f vrier, la sortie d hibernation, le crapaud retourne l tang o il est na t. C est le m le qui arrive en premier, et il sera charg d attirer la femelle par des cris coassant, la femelle n arrivant que deux semaines plus tard. Lorsque m le et femelle se retrouve, le m le treint la femelle et la maintient plaqu e contre sa poitrine. L accouplement dure plusieurs jours, et durant tout ce temps d autres m les rest s sans femelle tenteront de d tr ner leur rival, celui-ci se d fendant par des coups de pattes et poussant des cris. La ponte dure varie entre une dizaine et une trentaine d heure, la femelle l chant ses ovules dans l eau et le m le les f condant au m me instant. Une fois la ponte termin e, les parents n auront plus aucun contact avec leurs petits. C est une larve sans yeux qui sortira de ces ufs, et en trois semaines cette larve se transformera en t tard, avec l apparition d une longue queue, d une bouche munie de cinq rang es de dents et de deux yeux. Ce t tard respire alors l aide de branchies et se nourrit essentiellement de v g taux. Au fil du temps, la queue dispara t de m me que les branchies, les quatre membres se d veloppent, les dents tombent. Le t tard s est alors transformer en petits crapauds, capable de vivre sur terre comme un adulte.La vie d'un crapaud commence par le stade de t tard. DIMENSIONS: Longueur :m le: 7cmfemelle: 13 cmPoids:m le: 10 - 50 gfemelle: 20 - 120 g REPRODUCTION:Maturit sexuelle: m le: 4-5 ansfemelle: 3-4 ansAccouplements: entre f vrier et avrilOeufs: de 3000 12000 ( seul 2 ou 3 crapauds parviennent l' ge adulte)Stade larvaire: 12 semaines MODE DE VIE: Moeurs: plut t solitaireR gime alimentaire: insectes et divers invert br sCris: cris rapides et aigus pour signaler un danger; coassement long et lent pour appeler la femelle ESPECES PROCHES: Il existe plus de 100 esp ces de bufonid s. En France, on rencontre le crapaud commun (Bufo bufo), le crapaud calamite (Bufo calamita), et le crapaud vert (Bufo viridis) HABITAT: En rouge: aire de r partition du crapaud commun. REPARTITION: Le crapaud commun a coloniser la quasi totalit de l'Europe (sauf l'irlande et quelques les m diterran ennes). On le rencontre aussi dans le Maghreb, en Asie et m me au Japon. PROTECTION: Le crapaud commun est encore loin d' tre une esp ce menac e, mais la pollution des eaux nuit son environnement et son d veloppement puisque le milieu aquatique est essentiel sa reproduction. DESCRIPTION:Les ins parables sont aujourd hui connus en tant qu animaux de compagnie part enti re, leur plumage aux couleurs plaisantes et leur comportement amusant ne pouvant que nous charmer. Leur nom vient de leur habitude qu ont ces oiseaux de vivre en couples, de se tenir proche l un de l autre et de se becqueter. Plus concr tement, les ins parables sont de petits perroquets que l on rencontre en Afrique Tropicale et Madagascar. Il existe en tout 9 esp ces d ins parables. Dans la nature, les esp ces ne se m langent pas entre elles, bien que parfois leurs aires de r partition puissent s entrecouper ; mais en captivit , il est fr quent d observer des croisements entre deux esp ces diff rentes.Le m le et la femelle d'un couple se tiennent toujours l'un pr s de l'autre.MODE DE VIE:Leur habitude la plus connue est le fait que ces oiseaux vivent en couples tr s unis. En effet, bien qu ils vivent en groupe plus ou moins nombreux, le m le et la femelle formant un couple se perchent toujours ensemble et ne se s parent presque jamais. Les liens qui lient alors ce couple sont tr s forts, et pour se t moigner de leur attachement, les deux ins parables se nettoient mutuellement le plumage et se becquettent. Les ins parables font preuve d une grande capacit d adaptation leur environnement. Ainsi, tous vivent en Afrique tropicale et Madagascar, mais ils fr quentent les for ts pluviales de plaines, les for ts de plus haute altitude, des savanes bois es ou bien encore les r gions rocheuses et arides. Certains se sont m me adapt s des milieux qui ont subi des transformations par l Homme tels que les champs cultiv s, les jardins, et l ins parable d Abyssinie c est m me adapt aux parcs urbains. Les bandes d ins parables sont souvent avoisinantes des vingt individus, mais il arrive d en rencontrer certaines qui d passent la centaine d oiseaux. Les plus gros rassemblements d ins parables que l on puisse observer ont lieu autour de la nourriture, lorsque les fruits d un arbre arrivent maturit par exemple, ou bien quand une r colte d un champ se pr pare. Ces bandes provisoires peuvent alors compter plusieurs centaines d individus. Chaque bande a son propre territoire, et les ins parables ne s en cartent jamais trop. Ils occupent leur journ e la recherche de nourriture, quittant les dortoirs d s l aube, et d s qu un membre du couple s envole, l autre partenaire suit aussit t. Les ins parables savent tr s bien voler, et cette adresse leur est utile pour naviguer sans encombre au milieu des feuillages. Ils regagnent leurs dortoirs en fin de journ e, peu de temps apr s que le soleil se soit couch . Enfin, il faut savoir que si certains ins parables sont calmes et silencieux, la majorit sont de nature farouche, bruyants et agit s, poussant sans cesse des cris m talliques aigus.Les ins parables aiment voluer au milieu des feuillages.ALIMENTATION:Le r gime alimentaire des ins parables est vari : graines, fruits, baies, bourgeons, fleurs ou bien encore larves et insectes. Leur bec, large et crochu est parfaitement adapt pour casser les graines les plus r sistantes. Selon les esp ces, les ins parables se nourrissent m me le sol en picorant ce qu ils y trouvent, ou bien directement sur les arbres en explorant les feuillages. Dans les r gions o les aires de r partitions de plusieurs esp ces se recoupent, aucune concurrence alimentaire n est observ e. Ainsi, tandis qu une esp ce se nourrira au sol, l autre s approvisionnera dans les arbres, de telle sorte qu il n existe jamais de rivalit s pour l alimentation.De nombreux ins parables se nourrisent des graines de gramin es.REPRODUCTION:On peur parfois observer quelques ins parables solitaires, mais la plupart voluent en colonies. C est la femelle qui d cide de l endroit o sera difi le nid, et c est elle qui se charge de sa construction. De plus, comme elle est en principe plus grande et plus costaud que le m le, c est aussi elle qui se charge ensuite de le prot ger. Dans la plupart des cas, l emplacement choisi est une petite cavit , mais les pr f rences varient selon les esp ces ; il peut s agir d un trou dans un arbre, d une branche creuse, de la cavit la base d une feuille de palmier, ou encore un trou dans une paroi rocheuse telle qu un mur ou une falaise. Certains ins parables se chargent eux m me de creuser un trou dans une termiti re, ou bien se contentent d occuper une partie du nid des tisserins. L ins parable a t te rouge se contente d laborer un tapis d herbes et de brindilles, tandis que d autres esp ces comme l ins parable face rose confectionne un nid beaucoup plus sophistiqu , profond et bien ordonn . Les ins parables masqu s et joues noires utilisent de longues tiges et des morceaux d corces pour fabriquer des d mes. Quoi qu il en soit, cette grande diversit une fois de plus vite la comp tition entre les diff rentes esp ces, surtout que plusieurs nids peuvent tre log s au sein d un m me arbre. La femelle s occupera de la couvaison des ufs et des petits au d but de leur croissance, et le m le ne jouera un r le d terminant aupr s des poussins que lorsque ceux-ci auront d j un peu grandit, puisque partir de l le ma^le et la femelle s occupent en alternance de nourrir les jeunes.Les nids d'ins parables sont tr sdiversifi s selon les esp ces. DIMENSIONS: Longueur : 13 - 18 cmLongueur de l'aile:9 - 10,5 cmPoids: 25 - 60 g REPRODUCTION:Maturit sexuelle: entre 1 et 2 ans pour les ins parables lev s en captivit Accouplements: g n ralement apr s la saison des pluies, mais cela peut varier d'une r gion une autreOeufs: entre 3 et 8, rondsIncubation: 22 - 25 joursEnvol des petits: entre 38 et 50 jours MODE DE VIE: Moeurs: la majorit vit en colonie et forme des couples qui ne changent presque jamaisR gime: graines, fruits, fleurs, bourgeons, insectes, larvesCris: per ants, m talliques et souvent aigus ESPECES PROCHES: Il existe 9 esp ces d'ins parables: l'ins parable d'Abyssinie (Agapornis taranta),l'ins parable collier noir (Agapornis swinderniana), l'ins parable face rose (Agapornis roseicollis), l'ins parable de Fischer (Agapornis fischeri), l'ins parable joues noires (Agapornis nigrigenis), l'ins parable de Liliane (Agapornis lilianae), l'ins parable t te grise (Agapornis cana), l'ins parable masqu (Agapornis personata), et l'ins parable t te rouge (Agapornis pullaria). HABITAT: En rouge: aire de r partition des ins parables. REPARTITION: Au sud du Sahara, dans l'Afrique occidentale et centrale. Quelques populations aux densit s plus faibles sont rencontr es en Nambie, au Mozambique, en Tanzanie et Madagascar. PROTECTION: Certaines esp ces ont failli dispara tre cause de leur commercialisation trop intensive. Aujourd'hui, toutes les ventes sont strictement contr l es, et celles de certaines esp ces sont interdites. DESCRIPTION:L indricoth rium, connu aussi sous l appellation de baluchith rium, doit sa renomm au fait qu il ait t le plus grand mammif re terrestre dans l histoire du monde animal. En effet, cet animal, l un des anc tres des rhinoc ros que nous c toyons aujourd hui, pouvait atteindre peu pr s trois fois la taille d un homme. Les restes fossilis s de ce g ant pr historique restant malgr tout assez rare, les pal ontologues doivent se contenter des fragments d os mis leur disposition pour reconstituer son allure g n rale l aide d ordinateurs. C est en 1913, en Asie et plus pr cis ment au Turkm nistan qu a t d couvert le premier squelette fossilis de cet animal, par le pal ontologiste de nationalit russe Borissiak. Depuis cette date, beaucoup de temps s est coul et d autres recherches ainsi que de nouvelles d couvertes nous permettent aujourd hui de savoir que l indricoth rium vivait il y a entre 20 et 35 millions d ann es, sur le continent asiatique. On sait aussi que, bien qu il s agisse d un des anciens rhinoc ros pr historiques, la t te du baluchith rium, allong e et surtout massive tait d pourvu de cornes, comme pour la plupart des rhinoc ros de cette poque. Sa bouche tait quip de l vres sup rieures mobiles, de grandes molaires qui lui servaient brouter et d incisives prenant la forme de courtes d fenses. Presque tout le poids de l indricoth rium tait support par ses deux membres post rieurs, incroyablement puissants ; tandis que ses membres ant rieurs, plus longs, augmentaient la hauteur de la t te. En revanche, tant donn que le cou du baluchith rium tait plus court que ses autres membres, sans doute car un cou plus long ne lui aurait pas permis de supporter le poids de sa t te, il tait incapable de brouter au sol et devait donc se contenter du feuillage des arbres.Les restes fossilis s de baluchith rium sont rares.MODE DE VIE:L indricoth rium a t le plus grand mammif re terrestre, puisqu il pouvait mesurer pr s de 6 m tres. Pour son poids, la r ponse est plus d licate, on estime que son squelette pouvait supporter jusqu 30 tonnes de masse corporelle, mais des tudes plus r centes propose une masse plus mod r e de 11 tonnes. Dans tous les cas, il s agissait bien l d un g ant puisque qu il avait au minimum le double des proportions d un l phant d Afrique, qui ne p se que 6 tonnes pour 3 m tres de hauteur. D autres points peuvent tre mis en relation entre le baluchith rium et l l phant. En effet, comme chez les l phants, les squelettes du baluchith rium sont constitu s de grands os, larges et pais, indispensables pour assurer la solidit et la puissance de chacun des membres, sans quoi un tel poids ne pourrait tre supporter. Les membres de l indricoth rium se terminaient par des doigts courts mais tr s pais, bien que contrairement l l phant cette fois-ci, les pieds de l indricoth rium taient plut t longs, caract re h rit de ses anc tres, petits animaux qui taient beaucoup plus mobiles que lui. On peut aussi tre pratiquement certain que le baluchith rium ne poss dait pas de cornes comme pourrait le laisser penser le fait qu il s agisse de l un des anciens rhinoc ros. En effet, les cornes de rhinoc ros sont constitu es de k ratine, une mati re que l on ne retrouve jamais car elle ne se fossilise pas mais on peut cependant rep rer la pr sence de cornes gr ce des protub rances pr sentes sur le cr ne de l animal, or, les cr nes de baluchith rium en sont d pourvus. Enfin l tude de sa bouche confirme par sa dentition et ses l vres sup rieures qu il s agissait d un animal herbivore, et laisse appara tre deux incisives transform es en petites d fenses, certainement utilis es pour se d fendre des pr dateurs ou bien pendant les combats entre rivaux. Les autres m urs de l indricoth rium sont certainement rapprocher de celles de l l phant ou du rhinoc ros.La gigantesque taille de l'indricoth rium en fait le plus grand mammif re terrestre dans l'histoire du monde animal.ALIMENTATION:L indricoth rium tait un animal herbivore. Du fait sue son cou tait plus court que ses pattes, il devait lui tre impossible, ou tout du moins tr s difficile de se nourrir de l herbe au sol. Heureusement, sa hauteur incomparable lui permettait d atteindre le feuillage des arbres peu pr s 8 m tres de haut, soit une hauteur similaire celle qu exploitent les girafes de nos jours. Ses membres ant rieurs plus longs que ses membres post rieurs ne faisaient qu augmenter la hauteur du port de t te. On peut aussi supposer que le baluchith rium devait poss der une l vre sup rieure mobile, pour lui permettre de brouter ces feuillages, comme en est muni le rhinoc ros noir de nos jours. Les puissantes molaires de l indricoth rium, tr s proches de celles des rhinoc ros actuels, confirment par ailleurs qu il devait se nourrir de feuillage difficile broyer plut t que d herbe tendre et facile m cher. Puisqu'il ne pouvait pas atteindre l'herbe du sol, le baluchith rium secontentait des hauts feuillages.REPRODUCTION:Les fossiles de l indricoth rium ne sont pas nombreux, et loin d tre en assez grand nombre pour nous renseigner s rieusement sur son mode de reproduction. On ne peut donc qu mettre des hypoth ses, en supposant que la reproduction du baluchith rium ne devait pas tre si diff rente de celle des grands mammif res terrestres d aujourd hui comme les l phants ou les rhinoc ros. Ainsi, en remarquant que la dur e de gestation des mammif res de grande taille est importante, on peut supposer que celle de l indricoth rium devait elle aussi tre importante, peut tre deux ans puisque celle des l phants n en est pas loin. De plus, ces grands mammif res ont tous une f condation interne et ne donnent naissance qu un seul petit, ce qui devait l aussi tre tr s certainement le cas pour l indricoth rium.Comme nos grands mammif res contemporains, l'indricoth rium ne devait certainement donn naissance qu' un seul petit la fois. DIMENSIONS: Hauteur au garrot:5 -6 mLongueur : 8 - 9 mPoids :peut- tre jusqu' 30 tonnes REPRODUCTION: Maturit sexuelle : inconnueAccouplements: saisons non d termin s, f condation internePort e: tr s certainement 1 seulGestation: inconnue, peut- tre jusqu' 2 ans MODE DE VIE: R gime: v g taux et feuillages assez grande hauteurMoeurs: certainement solitaire, broutait les hauts feuillages ESPECES PROCHES: Il existe plusieurs esp ces de rhinoc ros primitifs, mais ils taient tr s diff rents les uns des autres, certains petits, l gers et rapides, et d'autres beaucoup plus imposants, massifs et proche des hippopotames. HABITAT: En rouge: aire de r partition des endroits o gissent des fossiles de baluchith rium. REPARTITION: L'indricoth rium a v cu l'Oligoc ne etau d but du Mioc ne, soit il y a 20 35 millions d'ann es. Il habitait en Asie, dans des r gions situ es entre le Caucase et le Baloutchistan.Les quelques fossiles d couverts laissent penser que l'indricoth rium vivait certainement dans des for ts et des savanes bois es. PROTECTION: On ne sait pas vraiment si l'indricoth rium tait une esp ce tr s r pandue ou non, mais quoi qu'il en soit les reste fossilis s demeurent rares et peu nombreux. DESCRIPTION:Le dauphin commun est un animal social, qui se d place par banc de plusieurs centaines d individus. Il s identifie assez facilement avec son dos de couleur noir, son ventre blanc et ses flancs marqu s par des taches variant du brun au violet. Son corps est parfaitement lisse et poss de une physionomie hydrodynamique, de telle sorte qu il s agit du plus rapide des petits dauphins, avec une vitesse de pointe atteignant les 44 km/h. Le dauphin commun ne peut rester immerg plus de quatre minutes sous l eau, et par cons quent on le voit r guli rement remonter en surface pour respirer par l vent qui se trouve au-dessus de sa t te. De temps autres, il se plait sauter hors de l eau pour retomber au milieu de ses cong n res. Le dauphin comun peut nager jusqu' 44 km/h en vitesse de pointe.MODE DE VIE:Le dauphin commun volue en groupes mixtes, comportant plusieurs m les, des femelles et des jeunes. Les m les cohabitent donc ensemble et aucun ne dirige le groupe car il n y a pas d chelle sociale, m me si les m les sont bien souvent porteurs des cicatrices obtenues de combats. Le dauphin commun aime les eaux chaudes et c ti res, et par cons quent on ne le trouve ni trop loin au Nord, ni trop loin au sud. Toute la journ e, le dauphin commun se d place, chasse, joue mais aussi communique l aide de son langage bien connu aujourd hui. Parmi toutes les esp ces de dauphins qui existent, le dauphin commun semble tre celle qui prend le plus de plaisir jouer. En effet, il est courant d observer plusieurs dauphins communs sauter simultan ment hors de l eau pour respirer. Il s agit soit de bonds en avant d crivant des arcs de cercle, soit de sauts la verticale produisant une quantit non n gligeable d cume lorsque le dauphin retombe l eau. Dans tous les cas, c est ainsi que le dauphin commun s amuse et joue avec ses cong n res. Il lui arrive m me de nager sur le dos et de faire claquer sa queue. C est toutes ces raisons que l observation des dauphins communs reste si plaisante, pour leur nature enjou e et dynamique.Le dauphin commun aime jouer avec ses camarades en sautant hors de l'eau.ALIMENTATION:Le dauphin commun poss de un r gime alimentaire extr mement vari , avec des calamars, des seiches, des pieuvres et des crevettes, bien qu il se nourrisse essentiellement de harengs et de sardines. D ailleurs, il n est pas rare d observer une bande de dauphins communs l o est pr sent un banc de sardines ou de harengs, car les populations de dauphins se d placent en fonction de la pr sence de nourriture. Ces migrations ont lieu par bandes de plusieurs centaines de dauphins. Or, le dauphin commun est capable de communiquer avec les membres de sa bande ; car il poss de un langage sp cifique, constitu pour l essentiel de clic et de sifflements, bien utile lors des parties de chasse, car l odorat du dauphin reste peu d velopp . En effet, lorsque les sifflements mis par un dauphin rencontrent un objet et notamment un banc de poissons, l cho revient au dauphin et le renseigne sur la vitesse, la taille et la direction de l objet consid r . Mais ce syst me de communication est aussi employ pour alerter les autres membres du groupe en cas de pr sence de requins ou d paulards.Les dauphins communs communiquent entre eux pour mener bien leurs parties de chasse.REPRODUCTION:Les couples form s par les dauphins communs sont ph m res et chaque dauphin change de partenaire tous les ans. Cependant, les liens entre les dauphins d une m me bandes sont extr mement forts, et chaque individu n h site pas porter secours son voisin en cas de besoin, surtout lors de la p riode de reproduction. La gestation dure dix mois et la femelle donne naissance un unique petit qui vient au monde par la queue. A ce moment l , alors que la m re guide son petit vers la surface pour sa premi re bouff e d air, deux autres femelles montent la garde et surveillent si quelques requins n auraient pas t attir s par l odeur du sang. La m re allaite son petit dans l eau pour ne pas qu il meure de faim et le conduit la surface tr s r guli rement, plusieurs fois par minutes, pour qu il puisse y respirer. Pendant les deux premi res semaines de sa vie, le jeune dauphin ne s loignera gu re de sa m re, bien qu il soit d j capable de nager par lui-m me, et cela d s sa naissance. Les dents commencent appara trent au bout de la premi re semaine, mais il en faudra beaucoup plus pour que le jeune dauphin deviennent ind pendant.Les couples de dauphins communs changent chaque ann e. R gime: principalement des harengs et des sardines, mais aussi des calamars, des seiches, des pieuvres, descrevettes, et bien d'autres esp ces de poissons c tiers Long vit : 25 ans environ Cris: clics aigus et divers sifflements ESPECES PROCHES: Le dauphin du Cap: Delphinus capensis; et le dauphin de baird: Delphinus roseiventris sont extr mement proche du dauphin commun. HABITAT: En rouge: aire de r partition du dauphin commun. REPARTITION: Le dauphin commun se rencontre dans les eaux c ti res, soit tropicales soit temp r es. Cependant, une bande de dauphins communs ne reste pas toujours au m me endroit,car elle migre en suivant les bancs de poissons dont elle se nourrit. PROTECTION: Le dauphin commun a beaucoup t chass par le pass ,et cela sutout dans la mer Noire. Aujourd'ui, le dauphin commun n'est plus pr sent dans cette mer, et bien que sa chasse est cess e, il continue d' tre victime des navires de p che, se retrouvant pi g dans leurs filets. DESCRIPTION:Le grillon champ tre est bien connu pour son chant relaxant et insistant. Ce chant est produit par le frottement des ailes du m le l une contre l autre, dont les nervures vont cr er des vibrations amplifi es et donc audibles par l Homme. Mais, celui-ci ne peut se faire entendre toute l ann e car d s que les temp ratures baissent, le grillon ne sort plus de son trou et passe une bonne partie de l ann e en hibernation. On peut l observer assez facilement pendant la belle saison, sur les talus chauff s par le soleil, et se rendre compte qu il s agit l d un grand insecte noir quip de deux longues antennes. Comme de nombreux insecte, le grillon champ tre poss de deux pi ces buccales, qui lui servent non seulement se nourrir mais aussi creuser le trou dans lequel il se mettra l abri toute l ann e. Le grillon champ tre se d place au moyen de saut, et pour accro tre l envergure de ceux-ci ses pattes post rieures sont extr mement muscl es. Elles peuvent dans certains cas l aider creuser le sol. A l inverse, ses pattes ant rieures sont fines et peu muscl es. La paire fix e juste derri re la t te poss de une particularit singuli re, car c est sur ces pattes que sont plac s les organes auditifs du grillon champ tre. Par cons quent, pour recevoir et localiser les ondes sonores, le grillon doit orienter ses pattes de diff rentes mani res.Le grillon champ tre adore se r chauffer aux rayons du soleil.MODE DE VIE:Le grillon champ tre fr quente les endroits ensoleill s, chauds, o la v g tation n est pas tr s importante et o il peut creuser facilement le sol. Il est important de savoir que s il est vrai que le grillon champ tre poss de des ailes, celles-ci ne sont que peu d velopp es et il n est en aucun cas capable de voler. Il est alors contraint de se d placer en marchant, souvent m me en courant. Pour esquiver quelques danger ou bien franchir certaines obstacles, le grillon est capable de faire de petits sauts, gr ces ses puissantes pattes post rieures. Gr ce celle-ci, mais aussi gr ce ses pi ces buccales, le grillon se creuse un terrier, qu il occupera pour hiberner et s abriter en cas de danger. La femelle se voit contraint de le quitter lorsqu elle atteint sa maturit sexuelle, dans le but d aller se chercher un compagnon. Le m le, lui, ne quitte pas son logement et ne s aventure jamais loin de son entr e pour chanter et ainsi attirer les femelles. Si dans le cas o un m le quitte malgr tout son terrier et en rencontre un autre, les deux rivaux se prof reraient des menaces et en viennent souvent se battre, parfois m me jusqu la mort.Le grillon champ tre m le ne s'aventure jamais bien loin de son terrier.ALIMENTATION:Le grillon champ tre est un insecte v g tarien. Il n est pas exigent sur les v g taux dont il se nourrit, d autant plus que ses mandibules parviennent d couper n importe quelle tige de gramin e. Ainsi, le grillon champ tre consomme le plus souvent des feuilles, des graines ou m me des racines. Dans certaines conditions, il lui arrive de d vorer d autres petits insectes, dont les propri t s alimentaires sont tr s int ressantes car ils sont riches en prot ines animales. Cependant, ce n est pas fr quent et le grillon champ tre a plut t tendance se nourrir exclusivement des v g taux de son environnement.Le grillon champ tre est pafois contraint de se contenter de l'herbe avoisinant son trou pour se nourrir.REPRODUCTION:La femelle du grillon champ tre atteint sa maturit sexuelle d s qu elle a termin sa derni re mue. Elle quitte son terrier d hibernation pour former un couple, cherchant et marchant jusqu ce qu elle rep re le chant d un m le et qu elle le rejoigne. Si lors de la rencontre la femelle accepte le m le, celui-ci lui projette du sperme la base de l ovipositeur, organe situ l extr mit de l abdomen de la femelle. C est gr ce cet organe que la femelle d pose ses ufs de mai juillet. Elle enfonce dans le sol cet ovipositeur, se pr sentant sous forme d une aiguille, et y d pose environ 200 ufs. Cers ufs pondus closent apr s trois ou quatre semaines d incubation. La larve qui en sort ressemble un ver, et elle mue tr s rapidement en un petit apt re de trois millim tres de long. Le jeune ressemble alors parfaitement l adulte, mais en miniature. Le jeune se hisse alors sur le sol, et ne pouvant pas encore creuser de terrier, il se cache sous les feuilles. Il mue sept ou huit fois avant d atteindre sa aille adulte, et les fra cheurs de l automne le poussent creuser son terrier d hibernation, long de vingt centim tres environ. Lorsqu il commence l hibernation, il prend soin de sceller l entr e de son tunnel pour ne pas laisser p n trer le froid, et il n en ressortira qu au douceur du mois de mars. Arriv l ; le jeune grillon champ tre mue encore deux fois et enfin devient un adulte, totalement apte se reproduire.Sur cette photographie l'ovipositeur de la femelle est parfaitement visible. Long vit : 10 mois avant de devenir adulte, seulement 3 ou 4 mois une fois ce stade atteint ESPECES PROCHES: Il existe une multitude d'esp ces de grillons, sans compter les criquets et les sauterelles qui lui ressemblent aussi. HABITAT: En rouge: aire de r partition du grillon champ tre. REPARTITION: Il est pr sent dans tout l'ouest, le centre et le sud de l'Europe. On le rencontre aussi dans le nord africain et l'ouest de l'Asie. PROTECTION: Le grillon est largement r pandue, mais ses populations ne sont pas r guli res d'unlieu un autre. Ses populations sontdonc en diminution, car il tait autre fois beaucoup plus abondant. DESCRIPTION:Le grand requin blanc est un v ritable monstre marin. C est l animal qui commet le plus d agressions sur l Homme et les embarcations l g res. Cette ph nom nale agressivit lui a valu d tre surnomm juste titre mort blanche ou mangeur d hommes. Il est donc une v ritable inspiration de terreur, d autant plus qu il est pr sent dans quasi toutes les mers, bien qu il soit beaucoup plus nombreux dans les mers climats temp r es que dans les mers froides. Ses dents sont sp cialement adapt es pour saisir les proies et leur arracher d importants morceaux de chaire. En effet, elles sont de forme triangulaire et mesure environ 7,5 cm. Lorsque le grand requin blanc perd une de ses pr cieuses dents, celle-ci repousse automatiquement de sorte que sa m choire ne soit jamais d faillante. Mais comme tout animal il poss de cependant un d faut, puisqu il est contraint de nager toute sa vie sans s arr ter une vitesse minimum de 3,5km/h, afin que son organisme ne manque pas d oxyg ne.Le grand requin blanc est l'embl me de la terreur pour tout animal marin.MODE DE VIE:Le comportement du grand requin blanc est tr s variable selon l ge, la taille et le poids des individus. Ainsi, les scientifiques ont remarqu que les jeunes requins blancs vivaient g n ralement dans les eaux de surface tandis qu arriv un certain ge, ils se r fugiaient dans les eaux sombres des profondeurs pour ne jamais en ressortir. On pense galement que le grand requin blanc change de sexe, tant m le dans sa jeunesse avant de devenir femelle partir d une certaine taille. En effet les plus gros sujets captur s taient pour la plus grande part des femelles. D autre part, plus la taille de l animal est importante et plus il a de chance de donner naissance a une bonne prog niture, c est pourquoi des chercheurs pensent que ce changement de sexe est du la nature afin d assurer le bon d roulement des naissances de requins blancs.Les jeunes grands requins blancs vivent g n ralement en surface.ALIMENTATION:Le grand requin blanc est beaucoup plus qu un pr dateur, puisque tout animal marin est une proie potentielle pour lui. Rien ne lui fait peur et surtout rien ne lui survit, sachant que ses proies pr f r es sont les plus grosses. Cependant il consomme pour la majeure partie du temps des thons, des marlins et des espadons, ou bien encore des otaries, des phoques et des dauphins pour les mammif res. Le grand requin blanc est de nature plut t solitaire et il est rare que plusieurs individus se rassemblent pour chasser. En revanche, lorsque le sang de la proie se d verse dans la mer, d autres requins blancs peuvent tre attir s par l odeur et se joindre au repas, surtout lorsque l on sait que le grand blanc peut sentir une seule goutte de sang au milieu de 4,6 millions litres d eau. La ration quotidienne de nourriture que le grand requin blanc doit ingurgiter d pend de nombreux facteurs, et notamment de la temp rature de l eau. En effet, plus la temp rature de l eau est lev e, plus les besoins alimentaires du grand requin blanc augmentent. Le grand requin blanc se nourrit la premi re occasion, bien que ses repas puissent tre espac s d un mois sans que sa sant soit alt r e. La d tection des proies se fait principalement l aide d un odorat supra-d velopp . Le nez du grand requin blanc est d ailleurs son principal centre nerveux ce qui lui permet la d tection de sang en plein oc an. Certaines proies peuvent ventuellement tre rep r es gr ce un syst me d cholocation lui aussi bien ma tris par le grand requin blanc.Le grand requin blanc est le plus grand pr dateur marin vivant aujourd'hui sur notre plan te.REPRODUCTION:Nous ne poss dons que tr s peu d informations sur la reproduction des grands requins blancs. On sait cependant que le m le atteint sa maturit sexuelle aux alentours de 10 ans. On pense ensuite que les m urs sexuelles du grand requin blanc sont elles aussi violentes tant donn du grand nombre de cicatrices pr sentes sur le corps des femelles et que l on suppose laiss es par les pr tendants. Les accouplements ont toujours lieu au fond des oc ans et pour cette raison aucun n a pu tre observ . Juste avant cette p riode les femelles se nourrissent de deux ou trois grandes proies, afin d accumuler de la graisse, car elles doivent tr s certainement rester jeun dans les profondeurs marines et cela pendant toute la p riode de reproduction. De plus, on sait que le grand requin blanc est ovovivipare, et que son taux de reproduction est assez faible avec une seule port e de deux dix jeunes tous les deux ans seulement.Les femelles des grands requins blancs portent de nombresuses blessures, certainement laiss es par les m les. Maturit sexuelle: vers 10 ans pour les m les, et on pense que quelques ann es plus tard ils changent de sexe pour devenir femelles Accouplements: une fois tous les deux ans Gestation: inconnue Port e: de deux dix petits certainement MODE DE VIE: Moeurs: solitaire, il ne doit pas s'arr ter de nager pour survivre R gime: absolument tout ce qu'il peut se mettre sous la dent Long vit : estim e entre 25 et 40 ans ESPECES PROCHES: Le grand requin blanc est peut- tre le plus connu de sa famille pour sa f rocit effrayante, mais il existe bien d'autres esp ces de requins. HABITAT: En rouge: aire de r partition du grand requin blanc. REPARTITION: Le grand requin blanc fr quente la totalit des mers du globe terrestre, mais ses densit s de populations sont cependant nettement plus lev es dans les mers chaudes et temp r es. PROTECTION: Le grand requin blanc est consid r comme rare, peut- tre m me deviendra-t-il en voie de disparition dans les prochaines ann es, mais son agressivit d mesur e rend tout recensement de population impossible. DESCRIPTION:Le gypa te barbu est un remarquable vautour, dont le nom provient de la touffe de plumes noires qu il poss de sous son bec. Son admirable plumage en fait l un des plus beaux rapaces, avec une teinte orange-cr me sous le ventre et une autre noir fonc pour les ailes, la queue et le masque de son visage. Son bec est puissant et surtout crochu. Il lui est tr s utile pour d chiqueter la chair des carcasses dont il se nourrit, ou encore pour transporter des os qu il laisse tomber du haut d une falaise afin qu ils se brisent et qu il puisse en extraire la moelle l aide de sa langue. Ses pattes et ses serres en revanche ne sont pas du tout puissantes, et cause cette faiblesse, le gypa te barbu les emploie plut t pour ses d placements au sol que pour la capture de ses proies. Malheureusement, cet oiseau qui est si beau admirer lorsqu il s lance du haut d une falaise pour se laisser porter par les courants d air chaud se fait de plus en plus rare. En effet, il ne reste plus aujourd hui qu une vingtaine de couple dans les Pyr n es et la Corse, et c est donc le vautour le plus rare d Europe. Heureusement que d autres effectifs sont pr sents en Asie et en Afrique, mais il demeure tout de m me une esp ce extr mement rare et menac e.Pouvoir observer un gypa te barbu en plein vol est extr mement rare.MODE DE VIE:Le gypa te barbu aime se reposer des heures enti res apr s s tre r gal d un bon repas. Il peut ainsi rester longtemps perch sur une corniche abrit e ou au sommet d un arbre ayant pouss sur les flancs d une falaise. Ces endroits constituent d excellents postes d observation, d o le gypa te barbu peut surveiller les environs et s envoler la moindre menace. On observe alors un v ritable spectacle de toute beaut . Le gypa te barbu s lance en d pliant ses longues ailes pointues et sa grande queue, puis se contente de se laisser porter par les courants thermiques et ne donne que quelques battements d ailes au d part. Cependant pouvoir observer cette sc ne est une opportunit extr mement rare pour l homme, d une part cause de la raret du gypa te barbu et d autre part car il s agit d un animal farouche et m fiant, qui ne se laisse gu re approcher par les Hommes. L endroit le plus conseill pour l observation et l tude du gypa te barbu demeure encore l Asie, car le gypa te y est pr sent en plus grand nombre et para t plus accoutum la pr sence humaine. Dans certaines r gions de ce continent il fr quente m me les d charges publiques, les fermes et les abattoirs, l o il trouve de quoi se nourrir. Le gypa te barbu est g n ralement un animal solitaire, mais quelquefois il est possible qu un couple se forme, notamment au cours des repas ou sur une corniche appr ci e pour le repos. Durant l hiver et l arriv e du printemps, le m le et la femelle paradent ensemble autour du site de nidification. Ils volent alors ensemble grande hauteur, tout en d crivant des cercles autour de l endroit choisi. Au bout d un certain temps, ils se laissent tous deux tomber dans une chute vertigineuse les serres entrem l es. Le gypa te barbu se fonde ainsi un territoire, dans lequel il demeure dans la plupart des cas, bien que certains individus pr f rent prendre part des migrations. Certains gypa tes barbus parviennent m me survoler la mer sur quelques distances, ce qui ne leur est absolument pas facile tant donn l absence de courants thermiques.Les gypa tes barbus aiment bien se reposer en haut d'une corniche apr s avoir mang .ALIMENTATION:Le gypa te barbu n est pas un grand chasseur, mais faisant partie des vautours, il pr f re se r galer de charogne et d os d animaux d j morts. Il aime bien les carcasses encore fra ches, mais il attend souvent que d autres vautours aient mang avant lui, pour qu il puisse s attaquer la chair la plus dure ainsi qu aux os. Les plus gros os sont bris s et la moelle en est extraite, tandis que les plus petits sont mang s tout entier. Le syst me digestif du gypa te barbu est adapt ce type de r gime alimentaire, et la digestion commence d s que l oiseau se met manger. Cependant, si le gypa te barbu ne trouve aucune carcasse dont se nourrir, il peut tre contraint de chasser lui-m me ses proies, et s attaque alors des oiseaux tels que les perdrix ou des esp ces plus petites. Il peut aussi capturer de petits mammif res ou m me de tortues qu il laisse retomber depuis les airs afin de briser leur carapace.Le gypa te barbusaisit etmanipule les os l'aide de son puissant bec.REPRODUCTION:Le gypa te barbu choisit souvent une corniche ombrag e pour y difier son nid, ou bien une cavit dans un flanc de falaise. Son territoire comprend g n ralement cinq nids, mais bien souvent le gypa te barbu n en utilise qu un seul, les autres servants pour les ann es suivre. Le gypa te barbu se met en qu te de grosses branches, de papiers ou de chiffons, ainsi qu une multitude d autres d chets pour difier son nid aux dimensions impressionnantes d un m tre de hauteur et de deux m res de diam tres. La taille du nid augmente avec les ann es qui passent, par l apport de nouvelles banches, de plus de laines, et par les d p ts d excr ments l int rieur du nid. A l arriv e du printemps, la femelle y d pose un ou deux gros ufs qu elle couve pendant deux mois environ. Le m le et la femelle se relayent ensuite pour nourrir les petits, mais g n ralement un seul des deux oisillons ach ve sa croissance. Durant longtemps le petits doit recevoir quatre repas par jour, et il ne devient autonome que vers l ge de 3 mois et demi.Les cavit s dans les flancs des falaises font parties des endroits pr f r s des gypa tes barbus pour la construction de leurs nids. En rouge: aire de r partition du gypa te barbu REPARTITION: Quelques rares montagnes d'Europe dont les Pyr n es, l'est et le sud de l'Afrique, l'Asie centrale. PROTECTION: Le gypa te barbu est devenu un oiseau tr s rare et menac de disparition. Il souffre notamment des pers cutions men es par les Hommes, de l'empoisonnement accidentel et de la disparition ou de la modofication de son milieu naturel. Des scientifiques travaillent aujourd'hui la sauvegarde de cette esp ce; en cr ant des points de nourissage artiiciel, en surveillant de tr s pr s les nids et les nouveaux-n s et en organisant des plans de r introduction dans diverses r gions.

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