Last Night in Orient - La musique pour la construction du dialogue interculturel, la Fraternit et la

Time 2020-12-28 06:03:31

Web Name: Last Night in Orient - La musique pour la construction du dialogue interculturel, la Fraternit et la

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La musique pour la construction du dialogue interculturel, la Fraternit et la Paix. Le chemin de fer connaît une renaissance en Equateur. Il est considéré comme le réseau ferroviaire le plus spectaculaire d Amérique du Sud. Le chemin de fer conna t une renaissance en Equateur. Il est consid r comme le r seau ferroviaire le plus spectaculaire d Am rique du Sud.L un des tron ons les plus frappants serpente travers la gorge de la rivi re Chanch n, c t du massif de Nariz del Diablo. Ici, le train zigzague sur une d nivellation de 500 m tres en seulement 12 kilom tres. Un voyage qui ne convient pas aux personnes impressionnables.Depuis quelques ann es, la ligne principale entre la ville c ti re de Guayaquil et la capitale Quito est nouveau op rationnelle. Le chemin de fer trans- quatorien mesure 450 km de long et relie la c te pacifique aux hautes terres des Andes. Lors de leur voyage en train travers l quateur, les reporters sont accompagn s de conducteurs de cyclomoteurs qui, en l absence de passages niveau, sont charg s de s curiser les passages niveau. Au pied des Andes, vivent le Shuar, l un des peuples indig nes de l quateur. Ils organisent une c r monie pour d terminer si un tranger est le bienvenu.Le voyage se poursuit avec le train de croisi re, d une capacit de 54 passagers. Dans la gorge de la rivi re Chanch n commence la partie centrale de l itin raire; il est connu comme le tron on ferroviaire le plus compliqu au monde. Le train zigzague c t du Devil s Nose, un massif de 100 m tres aux parois verticales. Ici, vous pouvez surmonter une diff rence de 500 m tres en seulement 12 kilom tres. Le lendemain, le train arrive la gare d Urbina, consid r e comme la plus haute d Equateur 3609 m tres d altitude. 500 m tres plus haut, les reporters accompagnent un patrimoine vivant , Baltasar Ushka, le dernier fabricant de glace du Chimborazo. Le long de l avenue des volcans , comme Alexander von Humboldt appelait les hauts plateaux andins, vous atteignez le parc national du Cotopaxi avec ses chevaux sauvages. Au point final de l aventure sur rails se trouve Quito, la plus haute capitale du monde. Pour les t l phones portables, les tuyaux en cuivre ou les oliennes, de grandes quantit s de mati res premi res sont n cessaires pour l conomie n olib rale. Les choses que nous, Europ ens, utilisons sans r fl chir sont produites en Am rique du Sud dans les conditions les plus difficiles. C est une sale affaire.Les politiciens latino-am ricains parient toujours sur une croissance effr n e gr ce l exportation de mati res premi res. Une politique qui remonte plus de 400 ans, l poque coloniale. Le co t est pay par les personnes touch es par les cons quences. Les Europ ens qui b n ficient de mati res premi res d Am rique du Sud sont galement en partie responsables.Cerro de Pasco, au P rou, est consid r e comme l une des villes les plus sales du monde, car elle est proche d une gigantesque mine ciel ouvert exploit e par la soci t suisse Glencore. Ici, le zinc, l argent et le plomb sont extraits pour le march mondial. Ceux qui vivent Cerro de Pasco absorbent les m taux lourds dans l eau du robinet qui sont bien au-dessus du seuil fix par l Organisation mondiale de la sant .La Rinconada, un nid de chercheurs d or de plus de 5 000 m tres de haut, a t frapp e par la ru e vers l or il y a plus de dix ans.C est la seule fa on d expliquer que la population de cette ancienne ville andine a explos , maintenant il y en a plus de 50 000. L or est export principalement vers la Suisse. son tour, La Rinconada est devenue une d charge, des kilom tres de d chets et de suicides s accumulent la p riph rie de la ville.L avidit pour les mati res premi res cro t sans mesure. Les groupes autochtones se d fendent souvent un prix lev : ils le paient de leur vie. Casi el 99,5% del chocolate belga que se vende en los supermercados contiene cacao cosechado por ni os esclavos, dice Oxfam, que pide a los productores belgas que utilicen granos de cacao de comercio justo.En frica occidental, m s de 100.000 ni os trabajan en el sector del cacao. Seg n estimaciones, 15.000 ni os son verdaderos esclavos de pa ses vecinos como Burkina Faso, dijeron representantes de Oxfam. La esclavitud infantil que esconde una barrita de chocolateEsto es lo que se preguntaron tres periodistas que indagaron de dónde viene la mano de obra que produce el cacao y lo denuncian en The Chocolate Case , una de las películas del Another Way Film ...https://elpais.com/elpais/2019/10/18/planeta_futuro/1571412859_547331.html Voir les commentaires Le chocolat. Une fierté belge au goût amer. Le chocolatbelge est appr ci de tous, mais sa production a un c t sombre: le travail des esclaves et des enfants dans les plantations de cacao, ainsi que la destruction de la for t tropicale. Cette mati re premi re est produite dans des conditions plus que douteuses.En C te d Ivoire, ce c t trouble de la production de cacao et de chocolat est particuli rement vident. De nombreuses personnes, y compris des enfants, viennent du Burkina Faso pour fuir la s cheresse et la famine. En C te d Ivoire, ils cherchent du travail, souvent seuls, sans leur famille, dans l une des nombreuses plantations de cacao. Les conditions de travail sont rudes: machettes tranchantes, charges tr s lourdes, herbicides toxiques et manque de v tements de protection.90% de la for t tropicale de C te d Ivoire a d j t d truite. Tout cela se produit au vu des grandes soci t s internationales de cacao et de l industrie du chocolat, telles que Nestl , Cargill ou Ferrero. En 2001, les entreprises ont accept de mettre fin au travail des enfants, l absence de salaire minimum et la destruction de la jungle. Mais vingt ans plus tard, aucun de ces objectifs n a t mis en uvre. Ce rapport mouvant offre un aper u de l autre c t de l industrie du chocolat et de ses produits de luxe sucr s. Les petits producteurs de caf indig nes font face aux circonstances les plus d favorables dans un pays marqu par une histoire sanglante de guerre civile.Avec leur coop rative, ces petits agriculteurs sont d sormais parmi les plus importants exportateurs de caf du pays. Cette mati re premi re pr cieuse a toujours marqu l histoire des peuples mayas du Guatemala. Premi rement, les colonisateurs se sont empar s de leurs terres. Plus tard, les propri taires terriens allemands les ont soumis au travail forc dans leurs plantations. D sormais, organis s sous forme de coop rative, les petits producteurs exportent leur caf dans le monde entier. Tout a commenc il y a 30 ans sous l initiative du suisse Ulrich Gurtner, dont l objectif a toujours t de promouvoir l ind pendance conomique des petits agriculteurs et, par cons quent, l mancipation sociale des Mayas. Au total, 24 000 petits agriculteurs ont rejoint la f d ration des coop ratives Fedecocagua. La f d ration vend le caf de ses membres directement en bourse et les lib re ainsi du fardeau des interm diaires. En outre, il tente de les lib rer de la d pendance qui peut tre g n r e par l aide au d veloppement. Un objectif extr mement difficile dans un pays o 3% de la population poss de 70% des terres.L oligarchie continue de dominer la politique du pays. Pour cette raison, ce jour, les atrocit s commises pendant la longue guerre civile, qui a co t la vie 200 000 personnes, appartenant pour la plupart aux peuples mayas, n ont gu re t lucid es. Bien que l accord de paix ait t sign en 1996, Ulrich Gurtner a le sentiment que la guerre contre les premiers habitants du pays ne s est jamais compl tement arr t e. El aroma de la Libertad - El café y los dioses mayas | DW | 22.12.2020En Guatemala, un antiguo concepto vuelve a cobrar fuerza: la cooperativa. Los pequeños agricultores indígenas de los cafetales hacen frente a las circunstancias más adversas en un país marcado ...https://www.dw.com/es/el-aroma-de-la-libertad-el-caf%C3%A9-y-los-dioses-mayas/av-56026458 Voir les commentaires En Ouganda et au Kenya, des virologues et des zoologistes tentent de trouver des relations entre l interaction des humains et des animaux sauvages et la propagation des virus. L tre humain d truit de plus en plus d habitats naturels, favorisant l apparition de pand mies. Le coronavirus responsable de la COVID-19 aurait t transmis l homme par des animaux sauvages.Il y a encore de nombreuses questions ouvertes sur COVID-19. Cependant, il ne fait aucun doute que de nombreux virus modernes proviennent du r gne animal ou sont transmis l homme par des animaux sauvages, comme la chauve-souris ou le pangolin. De m me, il devient de plus en plus clair que la d forestation rapproche la faune des populations, augmentant ainsi le danger d mergence de nouvelles maladies.

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